Sunday 13 May 2012

Ereğli

Karadeniz Ereğli, so-called because located in the Black Sea region (kara = black, deniz = sea) welcomed us just after the unpredictable blow (broken ankle) happened in my now beloved city: Istanbul! grrrr...
Plaster cast and crutches were my closest friends for this new round in my travel. Fortunately, this region allowed us to meet many great people. 
First was a nice trip between Karasu and Ereğli in the middle of the hazelnuts fields. Thanks Ibrahim and your family for the honour we had to share good meals with all of you. Then came Mustafa, Emre and Seckin with who we spent simple and nice time, the first Turkish coffee for instance. Did you really see, in my coffee cup, a dragon sewing new socks for me while dancing polka, Seckin? I hope my future will be as fun as that! Then, Cihan and Melih were there after all, and we will never forget the music, especially Melih playing guitar, dancing or narguile time, and all great talks we had. Thank you so much. 
I know I could not write that "in time". But I wanted to thank you guys. Even later.
Mustafa, relax while not in suit for teaching

Ibrahim and Michael doing sport on the beach
La bande de joyeux lurons !

Cihan, Melih et Michael in Turkish dance! look like chickens?






Monday 7 May 2012

Contretemps

Petit message pour vous annoncer un petit contretemps dans mon programme. 2 jours après que Florence, Pauline et Sylvain, des français immigrés pour découvrir les environs et me faire un petit coucou, Merci à vous d'avoir calé vos vacances sur ma route ! aient quittés Istanbul, j'ai raté une marche et n'ai pas vu le trou derrière. Je me suis tordue la cheville un peu violemment. C'est pas de chance dis donc ! Ca complique un peu le programme, vadrouiller est un peu moins facile.
J'ai une "distal fibula avulsion fracture" c'est ce que j'arrive à lire du petit mot qu'a écrit le médecin ! J'ai un beau plâtre de cheville (une botte) et des béquilles. Le programme est de rester tranquille un maximum. Le stop n'est pas tout a fait prohibé mais presque. Je ne marche presque pas, c'est vraiment fatiguant. Je ne porte plus mon sac, non plus. Je commence à donner mes habits d'hiver et les trucs inutiles pour qu'il soit plus léger.  J'ai aussi une aide non négligeable, Michael, un allemand qui fait un bout de chemin avec moi. Et les gens sont extremement attentionnés. Ma situation attire les gentillesses où que je sois, je me fais offrir de la pâte d'amande dans les rues ou mange à l'oeil dans les restau ! Toujours voir le bon côté des choses :-)

Oh la fılle de "pas d'ici", elle est bizarre un peu quand même !


Présentation de mon plâtre, je suis toujours en recherche de son petit nom :-S